Genre
Drame
Réalisateur
Clémence Marcadier
Scénariste
Clémence Marcadier
Avec
Xavier Edmond-Mariette, Damien Montpre, David Allan Ferly
La mère d’une jeune fille brillante doit se battre pour l’éducation de sa fille dans un système corrompu.
Une femme se réveille dans une vie qu’elle ne reconnaît pas, avec un mari et deux enfants qu’elle n’a jamais vus auparavant.
Une Américaine d’origine nigériane mal élevée rend visite à sa grand-mère, dont elle est séparée, dans l’espoir d’avoir accès à l’héritage de son père.
Bolu, une nouvelle mère, se noie dans les ténèbres du post-partum. Chaque jour qui passe, de vives hallucinations l’enfoncent un peu plus, la poussant au bord du gouffre.
Une influenceuse sud-africaine perd la foi en l’amour après avoir subi l’humiliation d’être larguée le jour de son mariage.
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Un couple contemporain nous amène à voyager dans le temps. Nous nous retrouvons en 1992 à Nairobi, période où le virus du VIH commence à faire des ravages, engendrant notamment une suspicion croissante de la confiance au sein des couples.
Dans la communauté panafricaine fantaisiste d’Alkebulan, une brillante érudite prépare sa vengeance après avoir découvert les fiançailles de son homme avec une autre femme.
Ayo est une jeune femme africaine qui, depuis l’âge de 8 ans, assiste sa mère lors des accouchements des femmes de son village. Chaque jour, elle voit des bébés et des familles qui s’agrandissent. Dans son foyer, l’attente du premier enfant est de plus en plus longue. Malgré l’amour et le soutien de son mari Faustin, tous les regards sont tournés vers elle. Tout le monde est impatient, sauf Ayo.
Coincée dans la boucle d’un film d’horreur de série B, une femme noire hyper-sexualisée décide de rejeter son destin et de se rebeller contre le scénario. Avec son petit ami, un noir symbolique qui meurt toujours en premier, ils font déraper le film tout entier. Ils tentent de déjouer le tueur en série et de s’échapper pour se libérer… mais le film a d’autres plans.
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La vie et la mort d’un Balogun extrêmement diabolique seront déterminées par les larmes nuptiales de sa dernière épouse lors de sa cérémonie Ekún Ìyàwó.